Syriga vulgaris (Oléacées).
Carl von Linné, 1753.
Le Lilas commun.
Syringa vulgaris, le Lilas commun, est un arbrisseau pouvant atteindre 6 m de haut, qui pousse de façon subspontanée un peu partout en France, préférant les terrains légèrement basiques, mais il est surtout cultivé. Il fleurit en avril-mai.
Cet arbrisseau est capable de produire des drageons depuis sa base et depuis ses racines.
Les rameaux sont légèrement pubérulents jeunes. L'écorce, grise à brun-gris, lisse sur les jeunes exemplaires, est sillonnée longitudinalement et se desquame en vieillissant.
Les feuilles, de 4-8 cm, opposées, caduques, ovales à cordées, acuminées, glabres, à nervures secondaires ramifiées, sont entières, à long pétiole.
Les fleurs apparaissant en même temps que les feuilles sont groupées en panicules terminaux atteignant 20 cm de long, denses, coniques appelés "thyrses". Ces fleurs très odorantes, à corolle lilas, violette, plus rarement blanche, possèdant un tube étroit, allongé, sont à 4 lobes étalés obovales, concaves de 6 à 10 mm de diamètre. Le calice, persistant, est à 4 dents inégales. Les étamines ne dépassent pas la corolle, et le stigmate est bifide.
Le fruit est une capsule fusiforme comprimée, coriace, brunâtre, à 2 loges, 2 valves et à 2-4 graines ailées.
Les parties utilisées sont les feuilles, qui contiennent de la syringine.
Utilisé par certains phytothérapeutes comme fébrifuge, décongestionnant hépatique et antinévralgique.
Le docteur Jean Valnet proposait une huile contre les douleurs rhumatismales:
- 2 poignées de feuilles fraîches dans 1/2 litre d'huile d'olives, à laisser macérer 15 jours en exposant au soleil. À utiliser ensuite en massages sur les zones rhumatismales.
Le Lilas est principalement utilisé comme arbrisseau ornemental, principalement pour ses fleurs printanières colorées et au parfum très agréable.
Malgré ses agréables senteurs, le Lilas est rarement utilisé en parfumerie fine, son odeur étant davantage associée aux produits d'entretien pour la maison. Il n'est pas considéré comme une fleur noble et sa distillation ne donne quasiment rien, les parfumeurs devant recréer les senteurs en laboratoire à partir d'autres ingrédients.
Cet arbrisseau est capable de produire des drageons depuis sa base et depuis ses racines.
Les rameaux sont légèrement pubérulents jeunes. L'écorce, grise à brun-gris, lisse sur les jeunes exemplaires, est sillonnée longitudinalement et se desquame en vieillissant.
Les feuilles, de 4-8 cm, opposées, caduques, ovales à cordées, acuminées, glabres, à nervures secondaires ramifiées, sont entières, à long pétiole.
Les fleurs apparaissant en même temps que les feuilles sont groupées en panicules terminaux atteignant 20 cm de long, denses, coniques appelés "thyrses". Ces fleurs très odorantes, à corolle lilas, violette, plus rarement blanche, possèdant un tube étroit, allongé, sont à 4 lobes étalés obovales, concaves de 6 à 10 mm de diamètre. Le calice, persistant, est à 4 dents inégales. Les étamines ne dépassent pas la corolle, et le stigmate est bifide.
Le fruit est une capsule fusiforme comprimée, coriace, brunâtre, à 2 loges, 2 valves et à 2-4 graines ailées.
Pour certains termes techniques: lexique botanique.
Les vertus médicinales du Lilas commun.
Les parties utilisées sont les feuilles, qui contiennent de la syringine.
Utilisé par certains phytothérapeutes comme fébrifuge, décongestionnant hépatique et antinévralgique.
Le docteur Jean Valnet proposait une huile contre les douleurs rhumatismales:
- 2 poignées de feuilles fraîches dans 1/2 litre d'huile d'olives, à laisser macérer 15 jours en exposant au soleil. À utiliser ensuite en massages sur les zones rhumatismales.
Usages divers du Lilas commun.
Le Lilas est principalement utilisé comme arbrisseau ornemental, principalement pour ses fleurs printanières colorées et au parfum très agréable.
Malgré ses agréables senteurs, le Lilas est rarement utilisé en parfumerie fine, son odeur étant davantage associée aux produits d'entretien pour la maison. Il n'est pas considéré comme une fleur noble et sa distillation ne donne quasiment rien, les parfumeurs devant recréer les senteurs en laboratoire à partir d'autres ingrédients.
Syringa vulgaris. Arbrisseau en coteau frais. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Écorce brun jaunâtre jeune. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Feuilles opposées caduques, ovales, cordées acuminées, entières. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Branches très florifères. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Fleurs groupées en un panicule terminal conique ou thyrse. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Fleurs groupées en thyrse. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Corolle à tube étroit allongé. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Jeunes fleurs en épanouissement Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Étamines ne dépassant pas la corolle Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Calice persistant, en cloche, à 4 dents inégales. Stigmate bifide. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
Syringa vulgaris. Capsules fusiformes comprimées. Baume-les-Messieurs 39210. 2015/05/11. |
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